Quand le nursing donne des envies perverses et vire au cuckold

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il y a 5 ans
Marielle a les idées larges et se prête par amour aux envies parfois loufoques de son mari. Elle accepte de lui donner la fessée de temps en temps et qu'il porte des couches certaines nuits sans pour autant adhérer à ses envies ABDL.

Sous les demandes très insistantes de son mari, en 2012 ils se sont rendus à un pique-nique de rencontre ABDL organisé par le réseau Fessestivites. Lors de cette rencontre amicale entre ABDL, elle a pu constater qu'ils ne sont pas un cas isolé et que d'autres hommes aiment les couches. Elle s'est étonnée que des femmes s'amusent également à en mettre ou jouent le rôle de bébé ou de nurse.

Devant le plaisir partagé entre les membres de ce réseau et l'ambiance décontractée, elle s'est immergée dans le rôle de nurse en changeant quelques hommes et même bébé Kio, une jolie femme complètement délurée mais craquante et d'une fort agréable compagnie. Cette nuit là, sous la tente installée dans le jardin du webmaster du site du réseau fessestivites.com Paul lui a fait l'amour comme jamais avec une fougue et une tendresse qu'elle ne lui connaissait pas.

Grâce à cette rencontre, elle comprit mieux l'ABDL et joue parfois à « imposer » à son mari qu'il soit en couche tout le week-end voir même à le contraindre à la garder une quand ils vont faire les courses au supermarché. C'est donc grâce à l'ABDL qu'elle s'est découvert un côté exhibitionniste car pendant leurs courses, elle s'arrange toujours pour demander à Paul d'attraper des choses en haut ou en bas des rayons pour que les clients puissent apercevoir sa couche. Une fois, au rayon des eaux, elle s'est amusée à vider une bouteille dans sa couche malgré les réfutations de Paul.

Si Marielle commençait à prendre goût à la domination et au nursing, elle n'en restait pas moins une femme et commençait à être en manque de câlins conventionnels. L'idée lui est venue de prendre un amant si Paul persistait à ne plus assumer son devoir conjugal. C'est avec diplomatie et ruse qu'elle aborda le sujet en lui parlant de libertinage, de club libertin où elle pourrait lui imposer de se balader en couche dans le club et s'amuser un peu. Paul ayant simplement refusé d'aller en club libertin, elle s'est engouffrée dans la voie restante : le libertinage auquel il ne semblait pas opposé. Si Marielle se voyait bien s'envoyer en l'air avec un autre homme, elle ne parvenait pas à l'idée de voir Paul dans les bras d'une femme.

Lors du pique-nique ABDL de 2012, lorsqu'ils firent la connaissance du webmaster du réseau Fessestivites, un Maître attentif, accueillant et surtout très joueur, Marielle s'est très bien entendue avec lui, il s'en suivit une correspondance régulière par email. Régulièrement le webmaster lui donnant des idées pour dominer son mari, elle s'est ouverte à lui sur ses envies libertines et sa problématique de jalousie et donc sur le fait qu'elle n'arrivait pas à concevoir que son mari aille avec une autre femme.

« Tu devrais essayer de lui imposer le cuckold dans ta domination, il est possible que cela lui plaise et te permette de réaliser tes propres fantasmes et envies. Puisque ton mari est soumis, pense à l'attacher ou lui imposer le port de la couche ou autre chose, afin qu'il trouve son compte pendant que toi tu t'éclates de ton côté. Surtout ne caches rien, prends tes précautions pour qu'il ne se sente pas trompé car un couple c'est fragile. Tu dois obtenir son accord d'une manière ou d'une autre et surtout la première fois, tu dois tout mettre en œuvre pour qu'il s'éclate lui aussi pendant que toi .... » Ce qu'une femme veut, ........ ! Mariel a donc obtenu l'accord de Paul en s'appuyant sur ses fantasmes de soumis en commençant par l'attacher dans un lit de bébé installé dans le salon pour s'envoyer en l'air toute seule avec ses sex-toys dans la chambre.

Lorsque le webmaster leur a proposé de participer à un petit week-end entre amis, Marielle a accepté avec plaisir et surtout quelques idées perverses derrière la tête. Le webmaster se surnomme lui-même psychopathe en chef, autant dire que s'il ne se prend pas au sérieux, il ne manque pas d'idées pour les jeux et plaisirs du SM au libertinage sans oublier l'ABDL.

La soirée du vendredi fut très chaude en termes de délires, bébé Kio ayant trouvé en Paul un bébé complice pour les bêtises. Les bébés furent grondés et fessés, Kio et Paul durent porter un rosebud toute la nuit en guise de deuxième tétine le tout en couche sous une culotte à cadenas pour Paul et une grenouillère se cadenassant pour Kio. La journée du samedi fut ponctuée de discussion, de délires en tout genre avec l'autre couple tout aussi disjoncté qu'eux mais seulement venu pour la journée.

Le samedi soir, Marielle s'est ouverte au webmaster sur ses envies libertines en lui demandant de l'aider à les concrétiser. En bon psychopathe, il orienta la soirée sur le shibari et les jeux de contraintes puis annonça clairement que les bébés dormiraient attachés. C'est donc en couche, enroulés un à un dans du cellophane et avec des chaines aux pieds et aux poignets que les bébés adultes en délire se retrouvèrent sur le lit de la chambre d'amis. « Allume-le un max, embrasse-le, fait-toi embrasser ou lécher la minette, prépare-le mentalement si tu ne veux pas prendre de risque pour ton couple si tu comptes concrétiser tes idées, car je ne veux pas être la cause d'une rupture entre vous » indiqua le webmaster à Marielle bien décidée à sauter le pas.

Ce qu'une femme veut...... Marielle devint une véritable garce de chez la famille « salope ». Elle se coucha sur les bébés attachés et les alluma un max. Entravés l'un à l'autre et au lit ils ne pouvaient que subir, rire et crier « au viol ». Elle fit ce que le webmaster lui avait conseillé en retirant sa culotte pour venir poser son sexe glabre sur le visage de Paul totalement allumé. Elle lui ordonna de bien la préparer pour qu'elle puisse s'envoyer en l'air avec le webmaster avant de s'asseoir à nouveau sur sa bouche devenue soudain bien plus gloutonne. Marielle monstrueusement excitée faillit jouir et étouffer Paul tellement elle s'amusait. Dix minutes plus tard et avec l'accord de son mari, elle v i o l a i t le webmaster qui en profita, après qu'elle eut jouit deux fois, pour lui faire découvrir le plaisir anal, son délicieux fessier féminin étant très attrayant.

D'une perversité surprenante, Marielle demanda au webmaster de conserver son préservatif puis se leva pour aller fouiner dans la cuisine d'où elle revint avec un biberon. Avec moult précautions elle retira le préservatif et recueillit son contenu en le faisant couler dans le biberon sous mes yeux amusés de son amant. Désirant profiter de l'aubaine, Marielle viola une seconde fois le webmaster au petit matin en commençant par une pipe savoureuse avant de passer à la chevauché fantastique à en faire grincer le lit. Désireux de reprendre le contrôle de la situation l'amant fit une ruade et la plaqua sur la couette avant de lui bloquer les jambes derrière la tête.

On ne peut plus offerte, Marielle ne put que tirer sur ses poignets maintenus fermement pendant que sa chouchounette gourmande se faisait profondément labourer. Et là, dans sa folie orgasmique, elle lui cria « encule-moi encore, v i o l e-moi, défonce-moi » comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Dire ça à un psychopathe n'est pas sans risque !

Avant même qu'elle ne réagisse, ses poignets furent bloqués dans les menottes en permanence fixées par une chainette à la tête du lit du Maître des lieux. Pour Marielle, l'amour attaché fut une deuxième révélation. Elle découvrit que tirer sur des entraves pendant l'acte sexuel intense génère de bien troublantes sensations et que se faire sodomiser de la même façon peut faire perdre la tête. Autour de la queue rude et dure la taraudant sans relâche, ses sphincters s'ouvraient et se resserraient lui donnant un plaisir nouveau d'une intensité totalement méconnue pour elle. Marielle crut mourir se matin là, tant son corps lui échappait. Elle en voulait toujours plus et en même temps criait des « non » puis des « oui » en cherchant tel un poisson sur l'étal à reprendre de l'air. Toutes les bonnes choses ayant une fin, quand exténué et terrassé pas sa jouissance il s'avachit sur elle, elle le mangea de baisers à défaut de pouvoir l'étreindre.

Marielle oublia le préservatif mais le psychopathe lui demanda si elle voulait aussi en récupérer le contenu. Elle voulut récupérer le sperme mais son amant toujours Maître dans l'âme négocia en préalable qu'elle remercie de sa bouche le sexe ayant œuvré pour lui permettre de réaliser ses idées perverses. Le préservatif retiré et vidé dans le biberon, Marielle dut remercier comme il se doit le glaive l'ayant pourfendue quelques minutes plus tôt. Remerciée d'une claque sur les fesses, Marielle toujours entravée vit son amant partir en courant aux toilettes pour un besoin pressant.

  • A nous deux ma belle ! Lui dit-il en revenant.

L'espace d'un instant, elle crut qu'il allait à nouveau la prendre mais le psychopathe avait d'autres idées perverses. Dans l'armoire il prit un instrument rectangulaire qu'elle ne connaissait pas et en guise de réponse à ses interrogations elle obtint une tirade surprenante qui l'inquiéta réellement car elle était toujours entravée : « accroche-toi ma belle, je vais te faire chanter ».

Maintenue les jambes écartées par celles de son amant, Marielle découvrit le vibro magique auquel peux de femmes de peuvent résister. Ses « non » qui ne furent pas écoutés se transformèrent rapidement en exclamations plus positives. Elle le traita de « salop » en pensant le contraire et pour la énième fois de la nuit connut une jouissance nouvelle aussi puissante qu'un tsunami qui rase tout sur son passage. Le vibro magique d'une extrême puissance lui arracha des contractions si puissantes que son amant faillit être assommé par une jambe rebelle et être éjecté du lit. Après cette dernière « libération » la femme v i o l é e et a b u s é e fut libérée de ses entraves mais elle n'en profita point pour prendre la fuite, elle se lova contre le psychopathe en oubliant ses projets matinaux pervers et son mari toujours attaché dans la chambre d'amis.

C'est le chant des oiseaux qui les fit émerger vers 10 heures et prendre conscience qu'il serait peut-être bien d'aller libérer les bébés. Marielle se chargea de préparer les biberons de café avec un nuage de « lait » supplémentaire dans celui de Paul qui dut le consommer jusqu'à la dernière goutte sous le regard amusé du webmaster donnant un bib conventionnel à sa soumise. Les fesses des bébés trempées purent alors prendre la direction de la salle de bain, bien que le psychopathe ait quelques idées de douche au jet d'eau dans le jardin mais il ne faut pas abuser nous en conviendrons.

TSM

Cette histoire érotique est PRESQUE totalement fictive et presque une fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est évidement .... purement fortuite. MAIS elle s’appuie sur des faits réels.

  • Normalement il n'y a pas de sexe lors des grandes rencontres.
  • Kio était bien la soumise du webmaster
  • Les week-ends et soirées Fessestivites ont existé et existent encore.
Précisions : pour participer aux soirées et week-ends GRATUITS il faut être abonné au réseau Fessestivites. On ne peut pas avoir le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière gratuitement.
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